Ni chaud, ni froid
jeudi 10 mars 2005
Quand j’ai vu que le réchauffement de la planète risquait de faire passer nos étés actuels pour de douces brises printanières d’ici 60 ans, je me suis dit, « Ça ne peut plus durer ! Il faut faire quelque chose ! »
...alors je suis allé vendre ma polaire.
...alors je suis allé vendre ma polaire.
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> Ni chaud, ni froid11 mars 2005, par catwomanMoi pareil j’ai vendu mes chaussettes de ski et mes pyjamas en pilou et paf ! voilà t’y pas qu’on a un hiver sibérien. On peut vraiment pas compter sur la science pour débarasser sans risque ses placards. Le pire c’est tous les abrutis qui ont fait un stock de polaires et qui ont vendu leurs bermudas, parce que c’était le dernier hiver de la planète. C’était juste pour écouler les stocks.
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> Ni chaud, ni froid11 mars 2005, par jMaxAh parce que t’avais des pyjamas en pilou ? Tu t’es toujours bien gardée de me les montrer...
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> Ni chaud, ni froid15 mars 2005, par catwomanAh mais tu ne sais pas tout, tu sais très bien que les femmes sont mystérieuses... surtout à propos de leurs pyjamas en pilou.
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> Ni chaud, ni froid15 mars 2005, par jMaxLa discrétion des femmes à propos de leurs pyjamas en pilou... Voilà un sujet d’étude qui mérite le détour ;-)
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> Ni chaud, ni froid16 mars 2005, par LudovicD | Soudain
Au fait, sur le sujet de l’hiver : ai entendu hier soir sur France2 la jolie phrase suivante :
"Nous sommes passés directement de l’hiver au printemps."
Et, du coup, je m’interroge : quelle saison ai-je donc bien pu manquer toutes ces années ?
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> Ni chaud, ni froid16 mars 2005, par jMaxVoilà qui mérite sans aucun doute un petit courrier à France 2. Ils ont peut-être des infos qui nous auraient échappées...
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> Ni chaud, ni froid17 mars 2005, par catwomanFrance 2 a toujours des remarques pertinentes et des infos primordiales transmises par un(e) abruti(e) tête de liste. La preuve, c’est que nous voilà informé de l’apparition d’une cinquième saison (création France 2 ). C’est Vivaldi qui va pas être content.
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Mais non, Vivaldi n’est pas à plaindre. Figuez-vous que des recherches scientifiques sérieuses (ADN et tout) et récentes, couplées à l’analyse de sa correspondance, ont prouvé que l’Antonio était un vrai ours.
Résultat : il n’écrivit que trois saisons.
La quatrième fut rajoutée plus tard, par Verdi (écoutez, vous verrez la différence de style !)
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